• Le Papa : Max, 36 ans (au moment du départ)

    La Maman: Carine, 35 ans

    Les 3 filles: Aurélia, 12 ans

                      Emilie, 10 ans

                      Cléa, 7 ans

    Nous rêvions d'un grand voyage, nous avons donc décidé de partir un an en Amérique du Sud en camping-car du 7 Août 2013 au 29 Juillet 2014.


    votre commentaire
  • A l’Ile de Pâques, il y des chevaux partout, dans les champs, sur la route … Les pascuans utilisent d’ailleurs fréquemment ce mode de déplacement. Les filles aimant beaucoup monter à cheval, nous nous sommes laissés convaincre et sommes partis pour une randonnée de 3 heures (qui finalement en a duré 4 !) avec Alain, Monique, Géraldine et Nina, au somment du Maunga Terevaka, le mont le plus élevé de l’Ile de Pâques avec ses 507 mètres. Les paysages étaient très sympas, très sauvages mais la balade un peu longue pour nous qui ne sommes pas de fins cavaliers. Par contre, Aurélia et Emilie ont adoré ! 

    La suite 

    La suite 

    Le soir, nous sommes allés voir un spectacle de danse pascuane et tahitienne qui a enchanté les filles.

    La suite  

     

     

     

     

     

     

     

    La suite

     

     

    Le lendemain, nous souhaitions nous reposer un peu, nous avons donc loué un petit 4x4 et sonmmes allés pique-niquer sur une petite plage : Ovahe. Max avait l’impression d’être au volant d’un jouet : passer de 7 mètres à 2, ça change !

     

    Puis nous avons fait le tour  de l’île en nous arrêtant sur des sites que nous avions vu lors de la visite guidée et que nous avions particulièrement apprécié.

     Le lundi, nous sommes montés au sommet du volcan Rano Kau et nous avons visité le village cérémoniel d’Orongo, le village de l’homme-oiseau. Pour faire cesser les guerres sur l’Ile de Pâques, à partir du XVIIIème siècle, les différentes tribus se sont affrontées non plus avec des armes mais en une compétition annuelle liée au dieu Makemakeke: le culte de l’homme-oiseau. Un homme de chaque tribu descendait d’une paroi abrupte du volcan Rano Kau, sautait à la mer, rejoignait un petit îlot et devait ramener au village un œuf de sterne nichant sur cet îlot. Le vainqueur donnait à sa tribu le droit de diriger les autres pendant un an.

    La suite

    La suite 

    La suite 

    La suite

     

     

    Sur le site de Vinapu, nous avons eu l’impression d’être retournée dans la Vallée sacrée près de Cusco. En effet, le mur de la plate-forme est construit de la même manière que les murs incas. Les scientifiques pensent que l’Ile de Pâques a  été colonisée par les polynésiens mais que des incas s’y seraient rendus ensuite.

     

     

     

    L’après-midi, Géraldine qui fait de la danse tahitienne depuis de nombreuses années, a initié les filles. Après le spectacle, elles n’attendaient que ça ! Ce ne sont pas encore de grandes danseuses mais le balancement est acquis !

    Un dernier pisco sour et un dernier repas ensemble et la famille niço-tahitienne est repartie à Tahiti laissant un vide, nous nous entendions vraiment bien !

    Le lendemain, randonnée, au programme : moais, côte escarpée et surtout grottes. En effet, après avoir marché environ une heure et demi, nous sommes arrivés à l’entrée d’une grotte (Ana Kakenga) un peu cachée. Il fallait se baisser pour rentrer mais une fois à l’intérieur après quelques pas dans une grande salle, le spectacle était au rendez-vous : deux grandes fenêtres surplombant la mer. Magique ! 

    La suite 

    La suite

     

    Nous sommes ensuite allés nous promener dans le village et dans cette île, perdue au milieu du Pacifique, j’ai revu un de mes anciens collègues. Cela faisait 5 ans que l’on ne s’était pas vu. Le monde est petit !

     

    Lors de notre dernière journée sur l’île, nous avons visité le Musée Sebastian Englert. Petit mais intéressant, nous y avons vu les fragments d’un des seuls yeux de moais qui est été trouvé.

     

     

    Après quelques achats de souvenirs, nous sommes rentrés à l’hôtel en passant par le « port ». Depuis le début, Max se demandait où s’arrêtaient les bateaux pour être à l’abri de la houle, des rochers et du vent incessant. Nous avons trouvé : une petite anse protégée sert aux barges déchargeant les cargos et à quelques voiliers à s’abriter. Max aimerait bien la tester … un jour, peut-être ! 

    La suite 

    Le lendemain, nous sommes partis de cette très jolie île. Nous y avons passé un merveilleux séjour. Tous ceux à qui nous en avions parlé nous disait que 8 jours c’était trop, nous n’avons pas trouvé, cela nous a permis non seulement de découvrir les différents sites mais aussi de faire des activités différentes et de s’imprégner de l’île.

     

     Page Précédente - Carnet de route - Page Suivante


    3 commentaires
  • Nos billets d’avion pour rentrer en France étant le 29 Juillet, nous avons de nouveau passé quelques jours sur Santiago.

    Nous avons visité le quartier Bellavista et avons craqué pour des bijoux en Lapis-Lazuli. Ce quartier avec son air bohème nous a beaucoup plu. 

    Santiago 2

    Santiago 2 

    Nous sommes allés visiter la maison de Pablo Neruda : La Chascona. L’audio-guide en français était très « vivant » et très intéressant, même les filles ont apprécié ! 

    Santiago 2 

    Santiago 2

     

     

     

    Nous avons de nouveau passé du temps avec nos amis Maria-Alicia, Mario et leurs enfants et les filles ont appris à faire de sopaipillas, des beignets de potiron typiques du Chili.

     

     

     

     

    Nous avons ensuite voulu profiter de la ville différemment. Comme les enfants chiliens étaient en vacances d’hiver, de nombreuses activités étaient organisées pour eux, les grandes ont donc fait un stage de photographie sur trois matinée au musée historique national. Elles étaient très contentes d’avoir passé du temps avec des enfants de leurs âges.

    Santiago 2

    Cléa a passé un temps interminable dans les aires de jeux de la ville et Max et moi avons pris des cours d’espagnol, oui, il était temps mais nous apprécions cette langue et avons envie de continuer à progresser.    

    Et puis, nous avons fêté l’anniversaire de Max. Nous en aurons donc tous fêté un en Amérique du Sud : Aurélia en Uruguay, Cléa et moi en Argentine, Emilie en Bolivie et Max au Chili.


    1 commentaire